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Régis Coeckelbergs

Hotelier

Habitant Francorchamps-Stavelot, Régis est un dandy friand de contact avec ceux qu’il appelle ses « clients-amis » … En effet, celui-ci est le propriétaire de l’hôtel du Château de Francorchamps, à Ster. Grâce à son activité, il offre aux touristes de tous horizons l’occasion de découvrir les plus beaux coins de l’Ardenne. Son amour pour les sports moteurs l’a d’ailleurs poussé à proposer des chambres personnalisées sur le thème de l’automobile. Quoi de plus normal lorsque l’on est passionné par le « toboggan des Ardennes », aussi appelé circuit de Spa-Francorchamps !

Ses immanquables en Ardenne :

« Mon hôtel et sa chapelle évidemment ! Elle est consacrée à Saint-Christophe, le patron des automobilistes, motards et cyclistes. Je l’ai reconstruite moi-même il y a 3 ans sur ses ruines. »

Ses expressions ardennaises favorites :

« ‘Abin na nourice’, qui veut dire ‘et bien ça alors’ ! C'est du wallon et c'est une ancienne femme d'ouvrage de chez nous qui prononçait cette phrase à chaque étonnement. »

Ses péchés mignons de la région :

« Le filet pur de bœuf blanc bleu aux baies de genévrier et fromage de Herve ! C’est une recette de ma maman ! »

Sa recette du bonheur et comment l’Ardenne y contribue :

« Il faut pouvoir admirer ce qui nous entoure, comme la beauté des paysages. »

C’est quoi, bien faire la fête en Ardenne ?

« Tout simplement en étant avec ses proches, en mangeant bien, en buvant bien ! »

Que ne faut-il jamais dire ou faire à un Ardennais ?

« Je dirais qu’il ne faut pas être trop curieux envers les Ardennais. Et ne pas convoiter ce qu’il possède ! »

Régis a déjà vu pas mal de monde passer par son hôtel et a donc de très nombreuses histoires en réserve… Il a choisi de nous en partager une qui le fait sourire :

« J'ai le plaisir de recevoir de nombreux clients à mon hôtel, dont pas mal de pilotes et de célébrités du circuit mais aussi des Francofolies de Spa. Un jour, j'avais eu un article dans la presse locale annonçant que je recevais un grand pilote de Formule 1 et que je lui avais spécialement aménagé le grenier de l'hôtel en suite. Quelques jours plus tard, j’ai croisé un vieux fermier du village qui me félicitait pour l’article mais qui voulais surtout savoir si les filles accompagnant le pilote dans sa suite étaient jolies... Et non monsieur, on n'est plus à l'époque des sultans et de leur harem ! »
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